Il frottait mes tétons. -Ils ne t’ont pas parlé de tes bouts ? Non ? Alors tu vas devoir passer à l’aspiration et aux aspire tétons surement s’ils décident de te transformer en femelle/mâle. Voilà bien autre chose ! Il y en a pour faire ça ? -Tu n’as jamais vu de fille avec de petits tétons et une cage sur le sexe ? Si, sur internet mais je ne veux pas être comme ça ! -Tu sais tu n’auras pas le choix. Arrête, je ne vais pas pouvoir me reposer. -Ok mais t’es prévenu. Il m’a fait une bise sur la joue et il est allé dans la chambre. J’ai arrêté l’eau après l’avoir fait passer dans le tube comme je pouvais et suis sorti me sécher. Je ne voulais pas dormir avec Serge, un garçon et me suis installé sur la terrasse du mieux que je pouvais, me couvrant d’une couverture. L’idée d’avoir des mamelons gonflés m’a empêché un moment de dormir mais j’ai sombré dans un sommeil lourd épuisé par tout ce qui se passait. Je n’ai pas eu le temps de réagir au réveil quand on m’a mis une cagoule sur la tête ne laissant que la bouche dans l’emplacement pour. Je n’ai simplement vu que le soleil était levé. On va faire une promenade jusqu’à la rivière mais tu la fais à quatre pattes. Et lève les cuisses en marchant. Perd ta pudeur de mâle ! Je n’ai pas reconnu la voix mais j’ai obéi. Que faire d’autre. La tête basse j’ai avancé tiré par le collier. Des ajoncs me piquaient en passant comme je ne voyais pas. Enfin j’ai entendu l’eau couler. -Redresse la tête et suce moi. Il m’a guidé vers sa queue. J’ai sucé. -Petite chienne tu as une chatte et plus un cul. Très excitant d’ailleurs. J’ai entendu une voix féminine. -C’est lui votre nouvelle chienne ? -Oui Vero. Passe quand tu veux. Mate sa petite chatte qui n’attend que d’être défoncée. Tout en suçant j’ai senti un doigt et surtout l’ongle long passer sur mon anus. -Ok je viendrais avec une copine bi. Je pompais mais entendais aussi. Il a joui. -Aller on remonte, Alan doit attendre. Toujours avec la cagoule j’ai trébuché souvent et il m’a tenu par le bras pour remonter. -Fait le descendre dans le bunker. Et tu le laisses, je m’en occupe. -Gaffe à toi, je te tiens mais il y a des marches et des murs pas larges. Bon tu ne retires pas ta cagoule avant qu’Alan soit là. Je l’ai entendu partir. La cagoule opaque, je ne voyais rien et Alan est entré sans bruit. Il a tiré la cagoule d’un coup et un spot m’a ébloui. -J’avais prévenu la fille d’être là et elle te guettait. Tu sais ces filles-là aiment bien se tenir comme des hommes avec un gode ceinture. Comme elle peut en changer, elle en a des énormes. Pour le moment assieds-toi sur ce fauteuil et pose les mains sur les accoudoirs. Le fauteuil était curieux. En bois avec une ouverture sous les fesses, comme une chiotte et une fois assis il m’a attaché poignets aux accoudoirs et chevilles aux pieds. Le fauteuil semblait fixé à l’arrière par des charnières. -Tu vas avoir ta première déformation de la poitrine par des embouts ronds en plastique transparents et rigides. Je vais écarter les pieds avant du fauteuil pour être plus près de toi. J’ai senti les pieds bouger, écartant mes cuisses et il est venu me pincer les tétons, tirant dessus. -Ne crie pas ça ne sers à rien et ils sont souples. Il s’est occupé à passer un genre de graisse autour de mes mamelons avant de mettre en route un appareil. Il a pris un des coupelles et l’a pressé sur un côté, faisant de même sur l’autre côté et j’ai senti la peau de mes, appelons ça mes seins, se tendre. L’air entre eux et la coupelle vidant l’espace. Je ne pourrais plus sortir après ! Je vais faire femelle. -Rassure toi l’effet ne dure pas mais pour nous tu ne dois être qu’une fille avec des couilles. Par contre quand je couperais l’aspiration je mettrais de petits embouts sur les bouts de tétons et là ça va faire un peu plus mal. Lécher une fille ne me gêne pas mais avec ce truc entre les cuisses je ne leur ferais pas mal ! -Mais elles ne sont pas là pour avoir mal avec toi. Nous oui. Toi tu seras juste là pour lécher et te faire mettre comme une lopette soumise. Je te montrerais tout à l’heure, tu baves déjà du tube en inox. Je monte chercher Gael qui vas te faire penser à autre chose pendant que les mamelons enflent un peu. J’avais déjà sucé Gael et il avait une belle queue et quand il est arrivé il a de suite rasé et dégagé son matériel déjà raide. -Tu suces un moment mais je ne gicle pas. J’ai le temps. Il y a des « bip » réguliers dans l’aspirateur et à chaque bip, l’aspiration augmente et je te refais sucer. Au troisième je gicle dans ta tronche et j’arrête la machine. Plus tard Alan redescendra changer les embouts. J’ai sucé quand le premier bip a retenti, ça tirait sur ma peau mais supportable. Je ne voyais pas sous moi. Au deuxième il m’a remis sa queue dans la bouche, s’arrêtant juste au moment où le jus arrivai. Ses yeux vicieux fixés sur ma tronche un peu déformé par la douleur retenue. -Tu ne vas pas tarder à entendre le troisième et j’hésite à te gicler dans la bouche ou sur la tronche. J’avais vu les embouts transparents avant la pose et je savais que j’aurais de petits mamelons épais de deux centimètres. Dès que le bip a retenti j’ai ouvert la bouche mais après trois coups de queue il a explosé devant moi, giclant sur mon visage. Du doigt il a essuyé mes yeux et me l’a fait sucer. -La machine est arrêtée mais elle garde la pression. Alan descendra te voir dans un moment. Il s’est rhabillé et après un sourire narquois il m’a laissé. Je n’avais pas de repères de temps, simplement la sensation de la douleur provoquée par la succion de mes tétons. Je voyais en penchant la tête les pointes entrer dans le tube aspirateur. Millimètre par millimètres. Du petit point que j’avais au centre de l’aréole ça tirait. Je suppose que la pompe avait un minuteur car elle s’est arrêtée, bloquant mes pointes dans le tube. Alan est descendu et a fait descendre la pression. Une fois les tubes retirés j’avais de petits bourgeons là où tout était plat. Il les a palpés me faisant crier de douleur. Il a ri. -Habitue toi Dans quelques temps ils seront plus long puis sans t’en occuper le jour où tu nous quitteras ils redeviendront presque normaux. Tout à l’heure les filles vont pouvoir te traiter en femelle. Que tu sois consentant ou pas. Il a renversé le dossier du fauteuil.et a sorti un truc que je connaissais de vue, un speculum. -J’ai besoin de savoir la profondeur de ton cul avant d’enfoncer trop loin des objets qui te sont familier pour tes filles avant. Il a enfoncé le speculum bien graissé avant de l’ouvrir mais sans forcer, je sentais l’air entrer dans mon cul et en faisant attention il a passé un mètre à ruban muni d’un embout rond., en poussant un peu il a obtenu vingt-deux centimètres sans que je crie. J’ai été étonné du chiffre. Il a souri. -Là c’est à froid mais tu peux surement accepter du 25 et plus une fois bien chaud. Il a tout retiré, et m’a détaché totalement même le collier. Va voir Serge lui a crié comme un fou il ne connaissait pas les filles mais il te lavera. Tu as faim ? Un peu oui Paul. Je me suis ramassé une baffe, une vraie. Je suis ton maître donc tu m’appelles …. Maître ? -Voilà, ce n’est pas si dur. Si tu as faim, suce n’importe lequel que tu trouves le sperme est nourrissant, tu lui demandes gentiment il ne refusera pas. Pour la première fois j’étais sans liens sauf la cage mais nu et sans poils. Je suis sorti du blockhaus, me retrouvant sur la terrasse où un mec fumait, appuyé à la balustrade. J’ai surmonté ma honte, et suis allé lui demander si je pouvais le sucer. J’avais tellement faim ! Pour toute réponse il a ouvert sa braguette et sorti son sexe. Je me suis collé dessus, il ne bandait pas mais rapidement j’ai senti qu’il durcissait et qu’il se retenait. -Pour avoir ton salaire il faut bien travailler. Lèche mes couilles et remonte au gland. Là comme ça. Il a eu un long soupir en se cambrant m’envoyant se giclée abondante au fond de la gorge j’ai avalé et sucé pour avoir les dernières gouttes. T’auras à bouffer ce soir ! Le vent s’était levé et je frissonnais sur l’avancée couverte je suis entré et Derge était là. Il ne fait pas chaud. -Non mais si tu as froid, vraiment froid je peux te prêter des fringues à moi. Ce n’est pas ton genre mais bon, tu auras plus chaud. Donne si ça me réchauffe. Il m’a tendu des bas blancs. Les nanas portent ça pour avoir chaud. Voilà aussi un body pour ta poitrine, ça ne descend pas loin mais au moins t’es pas nu. Je ne sais pas si j’ai droit mais tiens, mets ce string T’auras un peu plus chaud. Ce n’est pas très masculin mais il faut te faire à l’idée que c’est ce qu’ils aiment. Un mec mais en nana. La vache ! le string irrite l’anus, c’est dingue ce truc. -Bah les filles en portent toute la journée. Je vais m’allonger si ce soir je dois servir il faut que je me repose. -Tu vois tu t’habitues à servir. Je ne m’habituerais jamais ! Mais si, regarde, moi, bon je m’imaginais simplement caresser des bites pour les faire jouir et je suis devenu une chienne comme tu seras. Et tu n’en auras même plus honte. J’étais crevé et je me suis endormi quand Alan m’a secoué. La nuit était tombée e il a ri de mes fringues.

• Garde les bas ils sont marrants mais vire le body et le string. On va chez moi les invités sont déjà là. Tu vas être le clou de la soirée où plutôt les trous de la soirée. Viens si tu as besoin de courage je te remets le collier et la laisse. D’ailleurs ce sera une belle présentation. Nul besoin de masque, tout me monde doit pouvoir reconnaître une salope. Aller vient. Cette fois on allait chez lui et je ne connaissais pas l’intérieur. -On a fermé la véranda pour éloigner les insectes mais on te verra de l’extérieur. Un immense salon où en entrant les paroles se sont tues. Je voyais tous les regards posés sur moi, mon visage et ma cage. Ils étaient cinq, Trois mecs plus Alan et deux filles plus serge. Un de mecs que je ne connaissais pas m’a fait tourner sur moi-même puis me pencher en écartant les fesses.